Lu sur le site Telegraaf.nl:

Les habitants d'Amsterdam qui veulent encore trouver des publicités sur leur paillasson sont priés d'apposer l'autocollant Oui/Oui (Oui aux publicités non adressées ; Oui aux toutes boîtes) sur leur boîte aux lettres. Par cette mesure, le PvdD (Parti pour les animaux) entend lutter contre la montagne de déchets. Les partis D66, PvdA, SP et GroenLinks ont apporté leur soutien à la proposition. Dans d'autres endroits du pays, par exemple à La Haye et Bois-le-Duc, on réfléchit aussi à l'introduction de l'autocollant.

La KVGO, la fédération néerlandaise de l'industrie graphique, a réagi en disant que la décision de la Ville d'Amsterdam d'imposer l'autocollant Oui/Oui est fondée sur l'émotion et non sur la raison :

" Le Conseil municipal d'Amsterdam a adopté la proposition d'initiative du Parti pour les animaux d'introduire un autocollant Oui/Oui pour les imprimés publicitaires en 2017. La KVGO regrette le fait et étudie les possibilités d'actions juridiques contre cette décision en collaboration avec d'autres associations sectorielles. La Ville met également à mal un système de recyclage performant (Papiervezelconvenant, protocole d'accord relatif à la fibre papier). La décision d'Amsterdam va engendrer des dégâts économiques et sociaux démontrables. Elle est l'expression d'un sentiment émotionnel et irrationnel.

Les propositions auront des conséquences négatives sérieuses en termes d'emploi dans le commerce de détail, la distribution et l'industrie graphique. Les solutions alternatives pour les commerçants, comme la communication numérique, sont loin d'être accessibles à tout un chacun et il a été démontré qu'elles sont moins efficaces. Elles ne sont en outre, contrairement à l'idée généralement répandue, certainement pas exemptes d'émissions de CO2.

Les effets du plan Autocollant Oui/Oui ne sont pas à sous-estimer, et ce alors que tant les dépliants que les autocollants actuels ont prouvé leur efficience. "

Sources: KVGO, Telegraaf, Graficus

Lu sur le site Telegraaf.nl:Les habitants d'Amsterdam qui veulent encore trouver des publicités sur leur paillasson sont priés d'apposer l'autocollant Oui/Oui (Oui aux publicités non adressées ; Oui aux toutes boîtes) sur leur boîte aux lettres. Par cette mesure, le PvdD (Parti pour les animaux) entend lutter contre la montagne de déchets. Les partis D66, PvdA, SP et GroenLinks ont apporté leur soutien à la proposition. Dans d'autres endroits du pays, par exemple à La Haye et Bois-le-Duc, on réfléchit aussi à l'introduction de l'autocollant.La KVGO, la fédération néerlandaise de l'industrie graphique, a réagi en disant que la décision de la Ville d'Amsterdam d'imposer l'autocollant Oui/Oui est fondée sur l'émotion et non sur la raison : " Le Conseil municipal d'Amsterdam a adopté la proposition d'initiative du Parti pour les animaux d'introduire un autocollant Oui/Oui pour les imprimés publicitaires en 2017. La KVGO regrette le fait et étudie les possibilités d'actions juridiques contre cette décision en collaboration avec d'autres associations sectorielles. La Ville met également à mal un système de recyclage performant (Papiervezelconvenant, protocole d'accord relatif à la fibre papier). La décision d'Amsterdam va engendrer des dégâts économiques et sociaux démontrables. Elle est l'expression d'un sentiment émotionnel et irrationnel.Les propositions auront des conséquences négatives sérieuses en termes d'emploi dans le commerce de détail, la distribution et l'industrie graphique. Les solutions alternatives pour les commerçants, comme la communication numérique, sont loin d'être accessibles à tout un chacun et il a été démontré qu'elles sont moins efficaces. Elles ne sont en outre, contrairement à l'idée généralement répandue, certainement pas exemptes d'émissions de CO2.Les effets du plan Autocollant Oui/Oui ne sont pas à sous-estimer, et ce alors que tant les dépliants que les autocollants actuels ont prouvé leur efficience. "Sources: KVGO, Telegraaf, Graficus