Les possibilités sont infinies : du lettrage de façades à la décoration des murs du salon en passant par l'application de graffiti dans l'espace public. L'idée à la base est de Dr Ir Anne-Johan Annema, l'un des accompagnateurs du projet. Les étudiants ont développé le concept et l'ont concrétisé. L'imprimante est commandée via un ordinateur, comme une laser ordinaire. Une image chargée via l'ordinateur est lue pixel par pixel. Ces pixels sont alors gravés sur le mur par le faisceau laser.

L'imprimante fonctionnant au laser, le procédé impose le port de lunettes spéciales. Les utilisateurs peuvent toutefois assister à l'impression en direct et sans lunettes, par l'intermédiaire d'une webcam. Ils peuvent se tenir informés de l'avancement des opérations via Twitter. Un tweet est envoyé au début de l'impression et à la fin de celle-ci. Les cinq étudiants ingénieurs électriciens ont développé l'imprimante murale dans le cadre de leur projet de fin de deuxième année.

Source : Université de Twente

Les possibilités sont infinies : du lettrage de façades à la décoration des murs du salon en passant par l'application de graffiti dans l'espace public. L'idée à la base est de Dr Ir Anne-Johan Annema, l'un des accompagnateurs du projet. Les étudiants ont développé le concept et l'ont concrétisé. L'imprimante est commandée via un ordinateur, comme une laser ordinaire. Une image chargée via l'ordinateur est lue pixel par pixel. Ces pixels sont alors gravés sur le mur par le faisceau laser.L'imprimante fonctionnant au laser, le procédé impose le port de lunettes spéciales. Les utilisateurs peuvent toutefois assister à l'impression en direct et sans lunettes, par l'intermédiaire d'une webcam. Ils peuvent se tenir informés de l'avancement des opérations via Twitter. Un tweet est envoyé au début de l'impression et à la fin de celle-ci. Les cinq étudiants ingénieurs électriciens ont développé l'imprimante murale dans le cadre de leur projet de fin de deuxième année.Source : Université de Twente