La semaine dernière, Drukland.be, filiale de l'imprimerie en ligne néerlandaise Simian, a lancé son site Web en français : fr.drukland.be. Wouter Haan, CEO de Simian, espère convaincre quelque 30 000 entreprises et consommateurs francophones de commander leurs imprimés sur sa plate-forme.

Service clientèle bilingue

" Nos ambitions sont élevées : nous visons un doublement sur trois ans de notre chiffre d'affaires en Belgique, de 7,5 à 15 millions d'euros ", dit Wouter Haan. " Un tiers devra être généré dans la partie francophone de la Belgique. Un an et demi après l'ouverture de notre service clientèle belge, nous tournons déjà autour de 8,5 millions d'euros et traitons 60 000 commandes sur base annuelle. "

Le service clientèle de Drukland.be reste pour l'instant implanté à Bruges, d'où il couvrira aussi le marché francophone. Son effectif actuel est de six personnes, dont la moitié est bilingue. Drukland.be entend procéder à au moins deux engagements supplémentaires à court terme.

" Nous n'excluons pas que notre arrivée en Wallonie soit un marchepied pour conquérir le marché français ", dit Wouter Haan.

La semaine dernière, Drukland.be, filiale de l'imprimerie en ligne néerlandaise Simian, a lancé son site Web en français : fr.drukland.be. Wouter Haan, CEO de Simian, espère convaincre quelque 30 000 entreprises et consommateurs francophones de commander leurs imprimés sur sa plate-forme." Nos ambitions sont élevées : nous visons un doublement sur trois ans de notre chiffre d'affaires en Belgique, de 7,5 à 15 millions d'euros ", dit Wouter Haan. " Un tiers devra être généré dans la partie francophone de la Belgique. Un an et demi après l'ouverture de notre service clientèle belge, nous tournons déjà autour de 8,5 millions d'euros et traitons 60 000 commandes sur base annuelle. "Le service clientèle de Drukland.be reste pour l'instant implanté à Bruges, d'où il couvrira aussi le marché francophone. Son effectif actuel est de six personnes, dont la moitié est bilingue. Drukland.be entend procéder à au moins deux engagements supplémentaires à court terme." Nous n'excluons pas que notre arrivée en Wallonie soit un marchepied pour conquérir le marché français ", dit Wouter Haan.