Labelexpo Europe (25-28 septembre) à Bruxelles a battu tous les records. Le salon a occupé neuf halls d'exposition, pour une surface de 12% supérieure à celle de 2015. 37.724 visiteurs se sont rendus à Brussel Expo, soit une augmentation de 5,6 % par rapport à 2015 (35.739 visiteurs). Il y a eu de grandes délégations du Brésil, de Chine, d'Inde et du Japon.

L'impression d'étiquettes reste le sujet phare de Labelexpo Europe. L'intérêt pour l'impression d'emballages flexibles est en croissance et représente une diversification pour l'organisateur de salon Tarsus. Dans le domaine de l'impression numérique, le jet d'encre a fait cette année une véritable percée. Il y a d'ailleurs eu beaucoup de lancements de produit (voir la précédente newsletter et la prochaine édition de Nouvelles Graphiques en version imprimée).

Les techniques d'impression conventionnelles pour étiquettes conservent aussi tout leur attrait. En flexographie, une grande attention a été portée sur l'automatisation et l'efficacité accrues. Plusieurs innovations ont été présentées en flexographie avec des fonctionnalités améliorées de l'automatisation, l'impression de packaging et une efficacité accrue pour les tirages courts. Une autre tendance visible était celle de l'industrie 4.0. Pour la première fois, les visiteurs ont pu découvrir l'Automation Arena, espace dédié aux technologies automatisées d'impression d'étiquettes et d'emballages. Il était ainsi possible d'observer un flux de travail automatisé complet en action, depuis la création de jobs au prépresse, jusqu'à la finition et la facturation client. Les techniques d'impression conventionnelle et numérique ont été en démonstration. Des conclusions sur l'utilisation de l'une ou l'autre technique peuvent à peine être tirées, car cela revient la plupart du temps à comparer des pommes et des poires. Une constatation est le nombre croissant de presses à laize étroite plus larges dans des formats d'impression de 60 à 100 cm (au lieu de 30 à 40 cm habituellement). Il y a également eu une utilisation accrue des unités d'impression sérigraphique sur des presses analogues ou numériques. Des presses numériques ont également été équipées de systèmes de transformation analogiques. On observe donc aussi le mouvement inverse, dont des machines de finition et d'ennoblissement analogues sont munies de têtes à jet d'encre numériques.

L'organisateur Tarsus peut se targuer d'une édition réussie et ne peut qu'espérer un événement encore plus grand et meilleur en septembre 2019 à Bruxelles.

Labelexpo Europe (25-28 septembre) à Bruxelles a battu tous les records. Le salon a occupé neuf halls d'exposition, pour une surface de 12% supérieure à celle de 2015. 37.724 visiteurs se sont rendus à Brussel Expo, soit une augmentation de 5,6 % par rapport à 2015 (35.739 visiteurs). Il y a eu de grandes délégations du Brésil, de Chine, d'Inde et du Japon.L'impression d'étiquettes reste le sujet phare de Labelexpo Europe. L'intérêt pour l'impression d'emballages flexibles est en croissance et représente une diversification pour l'organisateur de salon Tarsus. Dans le domaine de l'impression numérique, le jet d'encre a fait cette année une véritable percée. Il y a d'ailleurs eu beaucoup de lancements de produit (voir la précédente newsletter et la prochaine édition de Nouvelles Graphiques en version imprimée).Les techniques d'impression conventionnelles pour étiquettes conservent aussi tout leur attrait. En flexographie, une grande attention a été portée sur l'automatisation et l'efficacité accrues. Plusieurs innovations ont été présentées en flexographie avec des fonctionnalités améliorées de l'automatisation, l'impression de packaging et une efficacité accrue pour les tirages courts. Une autre tendance visible était celle de l'industrie 4.0. Pour la première fois, les visiteurs ont pu découvrir l'Automation Arena, espace dédié aux technologies automatisées d'impression d'étiquettes et d'emballages. Il était ainsi possible d'observer un flux de travail automatisé complet en action, depuis la création de jobs au prépresse, jusqu'à la finition et la facturation client. Les techniques d'impression conventionnelle et numérique ont été en démonstration. Des conclusions sur l'utilisation de l'une ou l'autre technique peuvent à peine être tirées, car cela revient la plupart du temps à comparer des pommes et des poires. Une constatation est le nombre croissant de presses à laize étroite plus larges dans des formats d'impression de 60 à 100 cm (au lieu de 30 à 40 cm habituellement). Il y a également eu une utilisation accrue des unités d'impression sérigraphique sur des presses analogues ou numériques. Des presses numériques ont également été équipées de systèmes de transformation analogiques. On observe donc aussi le mouvement inverse, dont des machines de finition et d'ennoblissement analogues sont munies de têtes à jet d'encre numériques.L'organisateur Tarsus peut se targuer d'une édition réussie et ne peut qu'espérer un événement encore plus grand et meilleur en septembre 2019 à Bruxelles.