Avant la faillite de manroland, l'usine de Plauen fournissait des pièces et des éléments préassemblés aux deux autres implantations du groupe : Offenbach (pour les presses à feuilles) et Augsbourg (pour les rotatives). La première a été rachetée par le Britannique Langley et la seconde par l'Allemand Possehl.

Tout semblait indiquer que Possehl reprendrait aussi l'usine de Plauen, cette fois en partenariat avec le holding Berger. Or, ce dernier vient de se retirer, obligeant l'administrateur provisoire à reprendre la main. Possehl, qui s'est engagé dans un contrat de fourniture à long terme avec l'usine de Plauen, reste intéressé par son maintien mais ne veut pas s'engager seul.

Le salut pourrait venir d'un autre candidat repreneur, MN Maschinenbau, qui a fait part de son intérêt à l'administrateur. MN Maschinenbau, qui fabrique des groupes de soudage utilisés en industrie, cherche à accroître ses capacités de production. L'usine manroland de Plauen occupe encore 350 personnes, contre 700 avant la faillite.

Par ailleurs, Possehl a exprimé le souhait d'une collaboration entre manroland sheetfed et manroland web systems, les deux nouvelles entités issues de la scission de manroland, pour la distribution internationale des rotatives. "Dans certains pays comme la Grande-Bretagne, nous pensons avoir besoin de notre propre structure", a indiqué Peter Kuisle, vice-président de manroland web systems, à nos confrères du magazine PrintWeek. "Ailleurs, nous travaillerons avec Langley. Nous devons réfléchir pays par pays et trouver la bonne solution."

Avant la faillite de manroland, l'usine de Plauen fournissait des pièces et des éléments préassemblés aux deux autres implantations du groupe : Offenbach (pour les presses à feuilles) et Augsbourg (pour les rotatives). La première a été rachetée par le Britannique Langley et la seconde par l'Allemand Possehl.Tout semblait indiquer que Possehl reprendrait aussi l'usine de Plauen, cette fois en partenariat avec le holding Berger. Or, ce dernier vient de se retirer, obligeant l'administrateur provisoire à reprendre la main. Possehl, qui s'est engagé dans un contrat de fourniture à long terme avec l'usine de Plauen, reste intéressé par son maintien mais ne veut pas s'engager seul. Le salut pourrait venir d'un autre candidat repreneur, MN Maschinenbau, qui a fait part de son intérêt à l'administrateur. MN Maschinenbau, qui fabrique des groupes de soudage utilisés en industrie, cherche à accroître ses capacités de production. L'usine manroland de Plauen occupe encore 350 personnes, contre 700 avant la faillite. Par ailleurs, Possehl a exprimé le souhait d'une collaboration entre manroland sheetfed et manroland web systems, les deux nouvelles entités issues de la scission de manroland, pour la distribution internationale des rotatives. "Dans certains pays comme la Grande-Bretagne, nous pensons avoir besoin de notre propre structure", a indiqué Peter Kuisle, vice-président de manroland web systems, à nos confrères du magazine PrintWeek. "Ailleurs, nous travaillerons avec Langley. Nous devons réfléchir pays par pays et trouver la bonne solution."