Deux semaines après l'annonce d'une nouvelle génération " Ultra Stream " pour la Drupa, Kodak pense à présent que d'autres parties, pouvant compter sur une grandeur d'échelle supérieure, seront mieux à même d'en faire un succès.

La première démonstration technologique de la technologie jet d'encre Stream, fruit de développements internes, a eu lieu pendant la Drupa 2008, et l'introduction officielle a suivi en 2010. Selon son numéro un Jeff Clarke, Kodak a installé depuis 55 presses Prosper dans le monde, dont 16 exemplaires en 2015. Chaque unité coûte entre 2 et 3 millions de dollars.

Clarke explique ainsi la décision stratégique de céder la plate-forme Prosper : " Il existe dans ce secteur d'autres acteurs qui pèsent nettement plus lourd que Kodak. Le succès futur de la Prosper et le développement d'Ultra Stream exigent de la grandeur d'échelle et des capacités d'investissement. " Et de donner un exemple : " Chez Kodak, nous avons une quarantaine de commerciaux pour la Prosper. Les candidats potentiels à la reprise ont des centaines, parfois des milliers de collaborateurs actifs dans la vente, le développement de marché et le service, qui pourront aussi être déployés pour la Prosper dans le monde entier. "

Le fait pour Kodak de se séparer de son activité Prosper ne signifie pas que l'entreprise abandonne totalement l'industrie graphique. Par exemple, la plate-forme jet d'encre Versamark (Drop on Demand inkjet) continue d'être commercialisée sous la bannière de la division EISD (Enterprise Inkjet Systems Division). Et dans la division PSD (Print Systems Division), Kodak propose encore notamment des plaques offset et les presses toner à Nexpress.

Kodak ne communique pas sur l'identité de ses interlocuteurs. Des noms comme FujiFilm, EFI ou aussi Flint sont cités comme candidats possibles dans la presse graphique professionnelle.

Deux semaines après l'annonce d'une nouvelle génération " Ultra Stream " pour la Drupa, Kodak pense à présent que d'autres parties, pouvant compter sur une grandeur d'échelle supérieure, seront mieux à même d'en faire un succès.La première démonstration technologique de la technologie jet d'encre Stream, fruit de développements internes, a eu lieu pendant la Drupa 2008, et l'introduction officielle a suivi en 2010. Selon son numéro un Jeff Clarke, Kodak a installé depuis 55 presses Prosper dans le monde, dont 16 exemplaires en 2015. Chaque unité coûte entre 2 et 3 millions de dollars.Clarke explique ainsi la décision stratégique de céder la plate-forme Prosper : " Il existe dans ce secteur d'autres acteurs qui pèsent nettement plus lourd que Kodak. Le succès futur de la Prosper et le développement d'Ultra Stream exigent de la grandeur d'échelle et des capacités d'investissement. " Et de donner un exemple : " Chez Kodak, nous avons une quarantaine de commerciaux pour la Prosper. Les candidats potentiels à la reprise ont des centaines, parfois des milliers de collaborateurs actifs dans la vente, le développement de marché et le service, qui pourront aussi être déployés pour la Prosper dans le monde entier. " Le fait pour Kodak de se séparer de son activité Prosper ne signifie pas que l'entreprise abandonne totalement l'industrie graphique. Par exemple, la plate-forme jet d'encre Versamark (Drop on Demand inkjet) continue d'être commercialisée sous la bannière de la division EISD (Enterprise Inkjet Systems Division). Et dans la division PSD (Print Systems Division), Kodak propose encore notamment des plaques offset et les presses toner à Nexpress. Kodak ne communique pas sur l'identité de ses interlocuteurs. Des noms comme FujiFilm, EFI ou aussi Flint sont cités comme candidats possibles dans la presse graphique professionnelle.