Le défi est de taille, écrit le quotidien, car le fisc a encore envoyé plus de 21 millions de déclarations l'an dernier. En outre, un " saut quantique " est encore nécessaire pour parvenir à une digitalisation complète : " Sur les 7 millions de contribuables, 562 000 rentrent encore leur déclaration sur papier. Et la grande majorité des déclarations précomplétées (3 millions au total) est encore envoyée sur papier. "

À travers la digitalisation, D'Hondt entend éviter que l'administration ne devienne un obstacle pour la compétitivité. En outre, des économies peuvent être réalisées du fait que les déclarations papier ne doivent plus être scannées ni les enveloppes (r)envoyées. La déclaration papier ne disparaîtra toutefois pas de sitôt ", dit D'Hondt : " Il ne faut pas aller trop vite, parce que le fisc est là pour tout le monde. "

Le défi est de taille, écrit le quotidien, car le fisc a encore envoyé plus de 21 millions de déclarations l'an dernier. En outre, un " saut quantique " est encore nécessaire pour parvenir à une digitalisation complète : " Sur les 7 millions de contribuables, 562 000 rentrent encore leur déclaration sur papier. Et la grande majorité des déclarations précomplétées (3 millions au total) est encore envoyée sur papier. "À travers la digitalisation, D'Hondt entend éviter que l'administration ne devienne un obstacle pour la compétitivité. En outre, des économies peuvent être réalisées du fait que les déclarations papier ne doivent plus être scannées ni les enveloppes (r)envoyées. La déclaration papier ne disparaîtra toutefois pas de sitôt ", dit D'Hondt : " Il ne faut pas aller trop vite, parce que le fisc est là pour tout le monde. "