Le rapport en question a comme titre "Cartonboard Life Cycle ; comparing the carbon footprint of carton packaging against alternative solutions". En français : Cycle de vie du carton ; comparaison de l'empreinte carbone des emballages en carton avec les solutions alternatives. Le rapport compare donc le carton d'emballage par rapport à d'autres matériaux comme les sacs à film multilaminé, les plateaux en PP, les plateaux en PET et les blisters en PVC. Pour ce faire, le cycle de vie complet des emballages a été pris en compte, depuis la fabrication jusqu'à la transformation et à la mise au rebut. Les applications étudiées concernent les emballages d'aliments surgelés, de plats préparés, de restauration rapide et de petits appareils électriques. " On sait que l'impact carbone par tonne de matériau est beaucoup plus faible pour le carton que pour les polymères, que l'on considère uniquement les émissions fossiles ou que l'on tient compte des émissions et des absorptions biogéniques. Nous voulions aussi comparer les produits par unités, car les emballages en carton peuvent ne pas avoir le même poids qu'une solution fossile. De plus, les impacts de conversion et de fin de vie pour chacune des solutions diffèrent. C'est pourquoi, dans cette étude, nous avons comparé des solutions d'emballages spécifiques pour des produits similaires, de la création à la mise au rebut ", explique Tony Hitchin, directeur général de Pro Carton.

L'étude rend compte à la fois des émissions de gaz à effet de serre (GES) fossiles, issues de sources non renouvelables, et des émissions et absorptions de GES biogéniques. Les émissions biogéniques proviennent de la combustion de biocarburants et de la dégradation de bioproduits. Tandis que les absorptions biogéniques font référence à l'absorption de CO2 de l'atmosphère par photosynthèse pendant la croissance de la biomasse. En conclusion, l'étude montre que l'impact environnemental de l'emballage en carton est toujours plus faible par rapport aux alternatives en matière fossile.

Publiée en juin 2021, l'étude a été réalisée par RISE (Research Institues of Sweden), l'unité Bioéconomie pour Pro Carton, l'Association européenne des fabricants de cartonnages et de cartons plats, et examinée par intertek. Le rapport complet (en anglais) peut être consulté en ligne ici.

Le rapport en question a comme titre "Cartonboard Life Cycle ; comparing the carbon footprint of carton packaging against alternative solutions". En français : Cycle de vie du carton ; comparaison de l'empreinte carbone des emballages en carton avec les solutions alternatives. Le rapport compare donc le carton d'emballage par rapport à d'autres matériaux comme les sacs à film multilaminé, les plateaux en PP, les plateaux en PET et les blisters en PVC. Pour ce faire, le cycle de vie complet des emballages a été pris en compte, depuis la fabrication jusqu'à la transformation et à la mise au rebut. Les applications étudiées concernent les emballages d'aliments surgelés, de plats préparés, de restauration rapide et de petits appareils électriques. " On sait que l'impact carbone par tonne de matériau est beaucoup plus faible pour le carton que pour les polymères, que l'on considère uniquement les émissions fossiles ou que l'on tient compte des émissions et des absorptions biogéniques. Nous voulions aussi comparer les produits par unités, car les emballages en carton peuvent ne pas avoir le même poids qu'une solution fossile. De plus, les impacts de conversion et de fin de vie pour chacune des solutions diffèrent. C'est pourquoi, dans cette étude, nous avons comparé des solutions d'emballages spécifiques pour des produits similaires, de la création à la mise au rebut ", explique Tony Hitchin, directeur général de Pro Carton.L'étude rend compte à la fois des émissions de gaz à effet de serre (GES) fossiles, issues de sources non renouvelables, et des émissions et absorptions de GES biogéniques. Les émissions biogéniques proviennent de la combustion de biocarburants et de la dégradation de bioproduits. Tandis que les absorptions biogéniques font référence à l'absorption de CO2 de l'atmosphère par photosynthèse pendant la croissance de la biomasse. En conclusion, l'étude montre que l'impact environnemental de l'emballage en carton est toujours plus faible par rapport aux alternatives en matière fossile.Publiée en juin 2021, l'étude a été réalisée par RISE (Research Institues of Sweden), l'unité Bioéconomie pour Pro Carton, l'Association européenne des fabricants de cartonnages et de cartons plats, et examinée par intertek. Le rapport complet (en anglais) peut être consulté en ligne ici.