À présent que la clarté semble être faite sur l'issue du Brexit, le sujet ne figure plus en tête de la liste des principales préoccupations des imprimeurs britanniques : cette place est occupée désormais par " les prix de la concurrence " (61 %). Le " Brexit " vient en second lieu avec 38 % (encore 69 % fin 2019). Le " Baromètre du Brexit " de la fédération sectorielle BPIF montre lui aussi un basculement : si les prévisions sur les conséquences du Brexit pour le climat économique étaient encore négatives en octobre, avec un solde de -50, celui-ci est passé entre-temps à -3. Ce score est le plus élevé depuis la première version du Baromètre en janvier 2017. Il indiquait alors +17. Les imprimeries se font à présent surtout du souci pour l'effet que le Brexit peut avoir sur la fiabilité de la chaîne d'approvisionnement, les possibles hausses de coûts et d'éventuels tarifs douaniers.

La BPIF constate en outre dans son communiqué trimestriel que les attentes en termes de nombre de commandes et de volume d'imprimés sont pour la première fois favorables pour les trois premiers mois de 2020 : le solde entre les sentiments positifs et négatifs s'établit à +15 (contre +2 fin de l'année dernière).

À présent que la clarté semble être faite sur l'issue du Brexit, le sujet ne figure plus en tête de la liste des principales préoccupations des imprimeurs britanniques : cette place est occupée désormais par " les prix de la concurrence " (61 %). Le " Brexit " vient en second lieu avec 38 % (encore 69 % fin 2019). Le " Baromètre du Brexit " de la fédération sectorielle BPIF montre lui aussi un basculement : si les prévisions sur les conséquences du Brexit pour le climat économique étaient encore négatives en octobre, avec un solde de -50, celui-ci est passé entre-temps à -3. Ce score est le plus élevé depuis la première version du Baromètre en janvier 2017. Il indiquait alors +17. Les imprimeries se font à présent surtout du souci pour l'effet que le Brexit peut avoir sur la fiabilité de la chaîne d'approvisionnement, les possibles hausses de coûts et d'éventuels tarifs douaniers.La BPIF constate en outre dans son communiqué trimestriel que les attentes en termes de nombre de commandes et de volume d'imprimés sont pour la première fois favorables pour les trois premiers mois de 2020 : le solde entre les sentiments positifs et négatifs s'établit à +15 (contre +2 fin de l'année dernière).