" Les moteurs de croissance d'Agfa HealthCare se sont bien comportés, mais le chiffre d'affaires d'Agfa Graphics a été influencé par la faiblesse et l'incertitude de la situation économique. Grâce aux effets de notre programme d'efficacité, la marge bénéficiaire brute (à 28,8 %, ndlr) a toutefois continué à s'améliorer par rapport au premier trimestre de l'année dernière. Nous prévoyons que nous pourrons poursuivre le redressement de notre résultat net, en nous concentrant sur la poursuite de l'amélioration de la marge brute ", a déclaré Christian Reinaudo, président et CEO du groupe.

Le chiffre d'affaires d'Agfa Graphics s'est établi pour le premier trimestre 2013 à 371 millions d'euros, en recul de 25 millions, soit 6,3 %, par rapport à la période correspondante en 2012. Agfa attribue cette baisse à celle des dépenses publicitaires, qui a réduit le nombre de pages imprimées, et au report des investissements chez les imprimeurs. Le volume des activités CtP reste en hausse, mais cette augmentation a été réduite à néant pas l'évolution négative des prix. Comme prévu, après une stabilisation temporaire en 2012, l'activité CtF est repartie à la baisse. Enfin, dans le segment du jet d'encre industriel, l'activité a été faible en raison des incertitudes économiques.

La marge brute du pôle graphique est restée stable, à 25,1 % du chiffre d'affaires. Le résultat d'exploitation (EBIT) récurrent est par contre en baisse de 40 %, à 4,4 millions d'euros et l'EBITDA récurrent en baisse de 22 %, à 13,6 millions d'euros.

Dans une interview au quotidien économique De Tijd, Christian Reinaudo estime que les deux prochaines années seront cruciales pour l'avenir d'Agfa. Il ne cache pas que des mesures d'économie sont indispensables à l'usine de Mortsel et souhaite un accord avant fin juin avec les syndicats à ce sujet. " L'âge moyen des travailleurs de l'usine est de 48 ans. Ils doivent donc encore travailler 17 ans, mais Mortsel produit du film traditionnel. Vous ne croyez tout de même pas que cela durera encore 17 ans ? Soit nous cherchons ensemble une solution, soit nous allons vers un drame ", a-t-il déclaré à nos confrères.

" Les moteurs de croissance d'Agfa HealthCare se sont bien comportés, mais le chiffre d'affaires d'Agfa Graphics a été influencé par la faiblesse et l'incertitude de la situation économique. Grâce aux effets de notre programme d'efficacité, la marge bénéficiaire brute (à 28,8 %, ndlr) a toutefois continué à s'améliorer par rapport au premier trimestre de l'année dernière. Nous prévoyons que nous pourrons poursuivre le redressement de notre résultat net, en nous concentrant sur la poursuite de l'amélioration de la marge brute ", a déclaré Christian Reinaudo, président et CEO du groupe.Le chiffre d'affaires d'Agfa Graphics s'est établi pour le premier trimestre 2013 à 371 millions d'euros, en recul de 25 millions, soit 6,3 %, par rapport à la période correspondante en 2012. Agfa attribue cette baisse à celle des dépenses publicitaires, qui a réduit le nombre de pages imprimées, et au report des investissements chez les imprimeurs. Le volume des activités CtP reste en hausse, mais cette augmentation a été réduite à néant pas l'évolution négative des prix. Comme prévu, après une stabilisation temporaire en 2012, l'activité CtF est repartie à la baisse. Enfin, dans le segment du jet d'encre industriel, l'activité a été faible en raison des incertitudes économiques. La marge brute du pôle graphique est restée stable, à 25,1 % du chiffre d'affaires. Le résultat d'exploitation (EBIT) récurrent est par contre en baisse de 40 %, à 4,4 millions d'euros et l'EBITDA récurrent en baisse de 22 %, à 13,6 millions d'euros. Dans une interview au quotidien économique De Tijd, Christian Reinaudo estime que les deux prochaines années seront cruciales pour l'avenir d'Agfa. Il ne cache pas que des mesures d'économie sont indispensables à l'usine de Mortsel et souhaite un accord avant fin juin avec les syndicats à ce sujet. " L'âge moyen des travailleurs de l'usine est de 48 ans. Ils doivent donc encore travailler 17 ans, mais Mortsel produit du film traditionnel. Vous ne croyez tout de même pas que cela durera encore 17 ans ? Soit nous cherchons ensemble une solution, soit nous allons vers un drame ", a-t-il déclaré à nos confrères.