Selon le tribunal mandaté allemand, 100 des 125 emplois à Freiburg ont été sauvés par le rachat. FGB a servi autrefois en tant qu'un imprimerie interne et relieur la maison d'édition Versagsgruppe Herder.

Hans Sanders, directeur de Proost Industries, annonce d'autres investissements pour mettre sur les rails une société européenne de taille moyenne pour les livres de petites et moyennes séries. C'est ce que l'on peut lire sur le site allemand print.de.

Le tribunal de commerce de Turnhout a décidé le 3 juin de se prononcer le 17 juin sur la solvabilité de l'imprimerie Proost, dont Hans Sanders est aussi le CEO. L'imprimerie Proost porte une dette de cinq millions d'euros.

Piet Daneels du syndicat chrétien ACV a dit dans Gazet van Antwerpen qu'il n'y avait pour le moment aucune offre sérieuse et suffisante pour que Proost Industries redémarre l'imprimerie Proost. Selon Hans Sanders, aucune offre de rachat n'a été lancée jusqu'à ce jour. Du point de vue de Piet Daneels, un redémarrage sera probablement accompagné d'importantes pertes d'emplois et, dans le pire des cas, déclaré en faillite.

Selon le tribunal mandaté allemand, 100 des 125 emplois à Freiburg ont été sauvés par le rachat. FGB a servi autrefois en tant qu'un imprimerie interne et relieur la maison d'édition Versagsgruppe Herder.Hans Sanders, directeur de Proost Industries, annonce d'autres investissements pour mettre sur les rails une société européenne de taille moyenne pour les livres de petites et moyennes séries. C'est ce que l'on peut lire sur le site allemand print.de.Le tribunal de commerce de Turnhout a décidé le 3 juin de se prononcer le 17 juin sur la solvabilité de l'imprimerie Proost, dont Hans Sanders est aussi le CEO. L'imprimerie Proost porte une dette de cinq millions d'euros.Piet Daneels du syndicat chrétien ACV a dit dans Gazet van Antwerpen qu'il n'y avait pour le moment aucune offre sérieuse et suffisante pour que Proost Industries redémarre l'imprimerie Proost. Selon Hans Sanders, aucune offre de rachat n'a été lancée jusqu'à ce jour. Du point de vue de Piet Daneels, un redémarrage sera probablement accompagné d'importantes pertes d'emplois et, dans le pire des cas, déclaré en faillite.