L'intention résulte de l'émergence des médias numériques personnalisés, des économies sur les dépenses en communication de masse et de la surcapacité structurelle sur le marché de l'impression offset. Un arrêt éventuel aurait un impact sur 108 collaborateurs. La direction de Symeta insiste sur le fait qu'elle souhaite miser au maximum sur le réemploi au sein de Colruyt Group des collaborateurs susceptibles d'être concernés. Par ailleurs, Symeta confirme également qu'elle souhaite poursuivre à l'avenir le développement de ses activités en matière de communication client personnalisée et de gestion de documents.

Dans un contexte de crise économique globale, les clients de Symeta réalisent ces dernières années des économies sur leurs budgets de communication de masse. En outre, le secteur de l'impression offset connaît une surcapacité structurelle, si bien que les prix sont soumis à une réelle pression. L'émergence des médias numériques ajoute également une pression sur l'impression traditionnelle. En raison de tous ces facteurs, les activités offset de Symeta ont connu des pertes considérables sur le plan structurel ces trois dernières années, et chaque année, il fallut recourir de plus en plus au chômage économique.

La direction de Symeta a entamé aujourd'hui la consultation au sujet de cette intention avec les représentants des travailleurs au sein du Conseil d'entreprise dans le cadre de la législation en vigueur.

À l'avenir, Symeta souhaite rester actif dans la communication client personnalisée et la gestion de documents. Symeta perçoit un potentiel de croissance important sur ce marché, aussi bien pour Colruyt Group que les autres clients.

Symeta est le spécialiste en solutions d'impression et gestion de documents au sein de Colruyt Group. L'entreprise offre un large service en la matière, et est, de ce fait, unique sur le marché de la communication d'entreprise. Elle emploie actuellement 271 travailleurs. Symeta a gagné en novembre 2013 deux Nouvelles Graphiques Awards for Excellence dans les catégories Direct Mail et Magazines d'entreprises. Dans les deux cas, il s'agit d'imprimés très personnalisés qui ont été produits sur des imprimantes rotatives à jet d'encre de Symeta.

Symeta s'engage totalement dans l'impression numérique

Symeta a été fondée le 1er janvier 2011 suite à la fusion entre l'imprimerie Druco (celle de Colyuyt), le spécialiste one-to-one Mitto et Colruyt Group Services (services de reprographie et de dématérialisation). Un nouveau nom pour un regard renouvelé sur la communication d'entreprises.

Colruyt avait l'intention de mettre en place un système d'impression numérique afin de pouvoir produire du direct mail imprimé personnalisé et ciblé. Ce qui a abouti dans l'actuel centre d'impression et de distribution de Symeta à Leeuw-Saint-Pierre avec Colruyt comme plus gros client. Deux systèmes d'impression jet d'encre de HP y ont été installés où des imprimés personnalisés étaient produits. Par conséquent, moins d'imprimés conventionnels ont tourné sur les presses.

Symeta s'est mise en route dans le centre d'impression à Leeuw-Saint-Pierre en automne 2011 avec (et ce fut à l'époque une première européenne) la Color Inkjet Web Press T400, d'une largeur de 1066,8 mm, de HP. La T400 imprime en recto/verso en quatre couleurs à une vitesse de 183m/min. Fin 2011, une autre plus petite HP T200 était reprise dans l'entreprise. La T200 imprime aussi en recto/verso en quatre couleurs, mais sur une largeur maximale de 521 mm et à une vitesse de 122m/min.

Plus tôt, en 2009, le précurseur Druco de Symeta commenca déjà à Halle avec l'imprimante jet d'encre 2200 d'Océ pour l'impression de tirage à la demande des journaux étrangers pour le public international de la région de Bruxelles. Le projet a fait partie de l'OcéDigital Newspaper Network. Symeta a appris entre autres de cette expérience.

Grâce à la technologie jet d'encre, Colruyt est parvenu à offrir une brochure bimensuelle de quatre pages avec un assortiment personnel. Ce qui était fait sur base du comportement d'achats du client qui était enregistré à la caisse via la carte de fidélité. Une sélection de produits était alors réalisée pour les mettre en avant.

Avec les millions d'investissement, Symeta a réussi à ramener la brochure générale de 24 pages de Colruyt remplie de nombreux bons de réduction, à une brochure individualisée de 4 pages axée sur le client avec six fois moins de coupons. Grâce à la sélection de l'offre sur-mesure aux clients, l'usage des bons de réduction a augmenté (et l'utilisation de la carte de fidélité de Colruyt a été renforcée). A présent, Colruyt consomme annuellement moins de papier, ce qui représente une grande économie sur le plan de l'impression et de la distribution.

" La grande plate-forme d'impression jet d'encre de Symeta a le potentiel de forcer la transformation d'un direct mail en quantité de pages imprimées élevée en une plus petite quantité de pages grâce à un contenu sélectionné plus attentivement. L'effet cannibalisant sur l'industrie graphique traditionnelle n'est plus à trancher ", écrit encore Jan Vroegop en avril 2012 dans un article de Nouvelles Graphiques.

L'intention résulte de l'émergence des médias numériques personnalisés, des économies sur les dépenses en communication de masse et de la surcapacité structurelle sur le marché de l'impression offset. Un arrêt éventuel aurait un impact sur 108 collaborateurs. La direction de Symeta insiste sur le fait qu'elle souhaite miser au maximum sur le réemploi au sein de Colruyt Group des collaborateurs susceptibles d'être concernés. Par ailleurs, Symeta confirme également qu'elle souhaite poursuivre à l'avenir le développement de ses activités en matière de communication client personnalisée et de gestion de documents.Dans un contexte de crise économique globale, les clients de Symeta réalisent ces dernières années des économies sur leurs budgets de communication de masse. En outre, le secteur de l'impression offset connaît une surcapacité structurelle, si bien que les prix sont soumis à une réelle pression. L'émergence des médias numériques ajoute également une pression sur l'impression traditionnelle. En raison de tous ces facteurs, les activités offset de Symeta ont connu des pertes considérables sur le plan structurel ces trois dernières années, et chaque année, il fallut recourir de plus en plus au chômage économique.La direction de Symeta a entamé aujourd'hui la consultation au sujet de cette intention avec les représentants des travailleurs au sein du Conseil d'entreprise dans le cadre de la législation en vigueur. À l'avenir, Symeta souhaite rester actif dans la communication client personnalisée et la gestion de documents. Symeta perçoit un potentiel de croissance important sur ce marché, aussi bien pour Colruyt Group que les autres clients.Symeta est le spécialiste en solutions d'impression et gestion de documents au sein de Colruyt Group. L'entreprise offre un large service en la matière, et est, de ce fait, unique sur le marché de la communication d'entreprise. Elle emploie actuellement 271 travailleurs. Symeta a gagné en novembre 2013 deux Nouvelles Graphiques Awards for Excellence dans les catégories Direct Mail et Magazines d'entreprises. Dans les deux cas, il s'agit d'imprimés très personnalisés qui ont été produits sur des imprimantes rotatives à jet d'encre de Symeta. Symeta s'engage totalement dans l'impression numériqueSymeta a été fondée le 1er janvier 2011 suite à la fusion entre l'imprimerie Druco (celle de Colyuyt), le spécialiste one-to-one Mitto et Colruyt Group Services (services de reprographie et de dématérialisation). Un nouveau nom pour un regard renouvelé sur la communication d'entreprises.Colruyt avait l'intention de mettre en place un système d'impression numérique afin de pouvoir produire du direct mail imprimé personnalisé et ciblé. Ce qui a abouti dans l'actuel centre d'impression et de distribution de Symeta à Leeuw-Saint-Pierre avec Colruyt comme plus gros client. Deux systèmes d'impression jet d'encre de HP y ont été installés où des imprimés personnalisés étaient produits. Par conséquent, moins d'imprimés conventionnels ont tourné sur les presses. Symeta s'est mise en route dans le centre d'impression à Leeuw-Saint-Pierre en automne 2011 avec (et ce fut à l'époque une première européenne) la Color Inkjet Web Press T400, d'une largeur de 1066,8 mm, de HP. La T400 imprime en recto/verso en quatre couleurs à une vitesse de 183m/min. Fin 2011, une autre plus petite HP T200 était reprise dans l'entreprise. La T200 imprime aussi en recto/verso en quatre couleurs, mais sur une largeur maximale de 521 mm et à une vitesse de 122m/min.Plus tôt, en 2009, le précurseur Druco de Symeta commenca déjà à Halle avec l'imprimante jet d'encre 2200 d'Océ pour l'impression de tirage à la demande des journaux étrangers pour le public international de la région de Bruxelles. Le projet a fait partie de l'OcéDigital Newspaper Network. Symeta a appris entre autres de cette expérience.Grâce à la technologie jet d'encre, Colruyt est parvenu à offrir une brochure bimensuelle de quatre pages avec un assortiment personnel. Ce qui était fait sur base du comportement d'achats du client qui était enregistré à la caisse via la carte de fidélité. Une sélection de produits était alors réalisée pour les mettre en avant. Avec les millions d'investissement, Symeta a réussi à ramener la brochure générale de 24 pages de Colruyt remplie de nombreux bons de réduction, à une brochure individualisée de 4 pages axée sur le client avec six fois moins de coupons. Grâce à la sélection de l'offre sur-mesure aux clients, l'usage des bons de réduction a augmenté (et l'utilisation de la carte de fidélité de Colruyt a été renforcée). A présent, Colruyt consomme annuellement moins de papier, ce qui représente une grande économie sur le plan de l'impression et de la distribution. " La grande plate-forme d'impression jet d'encre de Symeta a le potentiel de forcer la transformation d'un direct mail en quantité de pages imprimées élevée en une plus petite quantité de pages grâce à un contenu sélectionné plus attentivement. L'effet cannibalisant sur l'industrie graphique traditionnelle n'est plus à trancher ", écrit encore Jan Vroegop en avril 2012 dans un article de Nouvelles Graphiques.