Dans le bulletin mensuel de Febelgra, Denis Geers adresse ses bons voeux de Nouvel An aux membres en faisant notamment le bilan de 2021. Le président de la Fédération de l'industrie graphique belge a vu la demande d'imprimés se redresser fortement au cours du second semestre : " Et ce dans le sillage de l'économie générale et du redémarrage de l'événementiel. "

La puissance de l'imprimé

Les hausses de prix des matières premières et la pénurie de papier sont toutefois venues jouer les trouble-fêtes. " Ces tendances sortent pleinement leurs effets actuellement et elles resteront probablement la principale préoccupation jusqu'au premier trimestre de 2022 ", écrit Denis Geers. " Un cocktail de circonstances qui a mis notre résilience à l'épreuve, mais qui montre en même temps que nous devons continuer à souligner la puissance de l'imprimé auprès de nos clients et du consommateur. "

Problème de pression sur les marges

Geers appelle une nouvelle fois le secteur à répercuter les hausses de prix sur les produits finis conformément au marché. " Ce n'est pas le message le plus agréable pour nos clients, mais c'est nécessaire pour ne pas créer un nouveau problème de pression sur les marges. "

Le président continue d'espérer que 2022 verra une stabilisation et une normalisation. " Pour ce qui est de la pénurie de papier, par exemple, des bruits courent disant que ce pourrait être le cas à partir du deuxième trimestre. "

Dans le bulletin mensuel de Febelgra, Denis Geers adresse ses bons voeux de Nouvel An aux membres en faisant notamment le bilan de 2021. Le président de la Fédération de l'industrie graphique belge a vu la demande d'imprimés se redresser fortement au cours du second semestre : " Et ce dans le sillage de l'économie générale et du redémarrage de l'événementiel. "Les hausses de prix des matières premières et la pénurie de papier sont toutefois venues jouer les trouble-fêtes. " Ces tendances sortent pleinement leurs effets actuellement et elles resteront probablement la principale préoccupation jusqu'au premier trimestre de 2022 ", écrit Denis Geers. " Un cocktail de circonstances qui a mis notre résilience à l'épreuve, mais qui montre en même temps que nous devons continuer à souligner la puissance de l'imprimé auprès de nos clients et du consommateur. "Geers appelle une nouvelle fois le secteur à répercuter les hausses de prix sur les produits finis conformément au marché. " Ce n'est pas le message le plus agréable pour nos clients, mais c'est nécessaire pour ne pas créer un nouveau problème de pression sur les marges. "Le président continue d'espérer que 2022 verra une stabilisation et une normalisation. " Pour ce qui est de la pénurie de papier, par exemple, des bruits courent disant que ce pourrait être le cas à partir du deuxième trimestre. "