Pour la deuxième année d'affilée, le VIGC (Vlaams Innovatiecentrum voor Grafische Communicatie vzw) organise un hackathon virtuel cet automne. Pour l'édition des 25 et 26 octobre 2021, le centre flamand de l'innovation pour la communication graphique collabore avec Intergraf, l'association faîtière qui chapeaute les fédérations sectorielles nationales. D'où le rebranding de...

Pour la deuxième année d'affilée, le VIGC (Vlaams Innovatiecentrum voor Grafische Communicatie vzw) organise un hackathon virtuel cet automne. Pour l'édition des 25 et 26 octobre 2021, le centre flamand de l'innovation pour la communication graphique collabore avec Intergraf, l'association faîtière qui chapeaute les fédérations sectorielles nationales. D'où le rebranding de l'évènement qui s'appelle désormais "European Graphic Arts Hackathon".Différentes fédérations individuelles en Europe opéreront également en tant que co-hébergeurs. Elles sont donc activement à la recherche d'équipes et d'individus désireux de participer au hackathon au sein du pays qu'elles représentent. Début août, le Danemark, l'Estonie et les Pays-Bas avait déjà donné leur accord.Un jury désignera les vainqueurs à l'issue des deux journées du hackathon. Les lauréats pourront présenter leur projet au Congrès annuel du VIGC (le 9 novembre 2021, à Malines).Contenu numérique et impriméLa première édition avait attiré treize équipes l'an dernier, soit quelque 85 participants du Benelux, d'Allemagne, de Scandinavie, d'Estonie et des États-Unis. "La qualité et la composition des équipes nous ont vraiment surpris lors du premier hackathon", dit Jos Steutelings, Managing Director du VIGC. "Il est plus que jamais évident que nous avons besoin de nouvelles techniques et de nouveaux services et modèles économiques."L'édition de 2020 a été remportée par la Luca School of Arts. Les cinq étudiantes de dernière année ont convaincu le jury avec leur projet 'Smiles. Leur défi consistait à faire changer la perception des gens qui pensent que l'imprimé est mort. Elles ont démontré que contenu numérique et imprimé pouvaient parfaitement coexister. L'idée était d'identifier les photo souvenirs par "détection de sourire" sur le smartphone afin de les rassembler dans un livre imprimé personnalisé.