Selon le CEO Hans Scheffer, les investisseurs existants sont disposés à prendre part à un nouveau tour de financement et des tractations sont en cours avec de nouveaux investisseurs et avec les banques. Scheffer lui-même réinjecte de l'argent dans la société qu'il a fondée en 2013 : " J'ai foi en cette entreprise. "

Pour que les nouveaux plans de financement puissent aboutir, un accord doit aussi être conclu avec les créanciers. Helloprint a suspendu ses paiements en mars. Les fournisseurs présentant un solde en souffrance de plus de 2 500 euros ont pu choisir entre six propositions, allant du versement d'un pourcentage du montant dû au report de la totalité du principal et des intérêts sur une période de maximum 5 ans.

Un des fournisseurs concernés, un imprimeur néerlandais qui poursuit sa collaboration avec Helloprint nonobstant le dilemme, ne souhaite pas commenter plus avant la situation et a choisi momentanément de se murer dans le " silence radio ". Un autre fait savoir que " l'affaire est aux mains de son avocat. "

Scheffer dit être entre-temps parvenu à un accord de règlement avec 90 % des créanciers - qu'il qualifie fort opportunément de " partenaires ". " Chacun a intérêt à ce que nous dégagions une solution avec tout le monde. " Il ne peut dire quelle variante des propositions a eu la préférence mais pense que le résultat sera jugé suffisant aussi pour les autres pourvoyeurs de fonds : " Mais ce sera pas facile pour autant. "

Helloprint avait de bonnes prévisions pour 2020 (voir illustration), mais Scheffer se voit néanmoins forcé - " comme tout le monde " - de revoir son business model : " Les imprimés publicitaires, par exemple destinés à la promotion d'évènements, constituaient environ 60 % de notre volume de travail. Mais il n'en reste plus rien à présent. Il sera difficile de revenir au même niveau. Nous allons donc devoir miser à un rythme accéléré sur de nouvelles catégories, comme les emballages et l'habillement. "

Selon le CEO Hans Scheffer, les investisseurs existants sont disposés à prendre part à un nouveau tour de financement et des tractations sont en cours avec de nouveaux investisseurs et avec les banques. Scheffer lui-même réinjecte de l'argent dans la société qu'il a fondée en 2013 : " J'ai foi en cette entreprise. "Pour que les nouveaux plans de financement puissent aboutir, un accord doit aussi être conclu avec les créanciers. Helloprint a suspendu ses paiements en mars. Les fournisseurs présentant un solde en souffrance de plus de 2 500 euros ont pu choisir entre six propositions, allant du versement d'un pourcentage du montant dû au report de la totalité du principal et des intérêts sur une période de maximum 5 ans.Un des fournisseurs concernés, un imprimeur néerlandais qui poursuit sa collaboration avec Helloprint nonobstant le dilemme, ne souhaite pas commenter plus avant la situation et a choisi momentanément de se murer dans le " silence radio ". Un autre fait savoir que " l'affaire est aux mains de son avocat. "Scheffer dit être entre-temps parvenu à un accord de règlement avec 90 % des créanciers - qu'il qualifie fort opportunément de " partenaires ". " Chacun a intérêt à ce que nous dégagions une solution avec tout le monde. " Il ne peut dire quelle variante des propositions a eu la préférence mais pense que le résultat sera jugé suffisant aussi pour les autres pourvoyeurs de fonds : " Mais ce sera pas facile pour autant. "Helloprint avait de bonnes prévisions pour 2020 (voir illustration), mais Scheffer se voit néanmoins forcé - " comme tout le monde " - de revoir son business model : " Les imprimés publicitaires, par exemple destinés à la promotion d'évènements, constituaient environ 60 % de notre volume de travail. Mais il n'en reste plus rien à présent. Il sera difficile de revenir au même niveau. Nous allons donc devoir miser à un rythme accéléré sur de nouvelles catégories, comme les emballages et l'habillement. "