Les chiffres présentés récemment par la célèbre analyste des médias Mary Meeker montrent qu'en 2010, l'imprimé bénéficiait encore de 8 % de temps de consommation, mais drainait 27 % de toutes les dépenses publicitaires. Changement radical en 2018 : 3 % de l'attention (les journaux ont encore droit à 11 minutes par jour et les magazines à 9 minutes) pour encore 7 % des budgets. À titre de comparaison, l'internet mobile prenait 8 % du temps médias en 2010 et 0,5 % des budgets, contre aujourd'hui 33 % du temps et 33 % de toutes les dépenses de publicité.

Tatjana Raman, senior media expert chez bpost media, faisait par ailleurs remarquer la semaine dernière lors de l'évènement Get Smart que les consommateurs se montrent toujours plus habiles à éviter la publicité. Ainsi, ils sont 1 sur 3 en Belgique à utiliser un bloqueur de publicités, et 1 sur 5 à avoir mis un autocollant " pas de pub " sur leur boîte aux lettres : " On ne s'en sort pas si mal, tout compte fait. "

Les chiffres présentés récemment par la célèbre analyste des médias Mary Meeker montrent qu'en 2010, l'imprimé bénéficiait encore de 8 % de temps de consommation, mais drainait 27 % de toutes les dépenses publicitaires. Changement radical en 2018 : 3 % de l'attention (les journaux ont encore droit à 11 minutes par jour et les magazines à 9 minutes) pour encore 7 % des budgets. À titre de comparaison, l'internet mobile prenait 8 % du temps médias en 2010 et 0,5 % des budgets, contre aujourd'hui 33 % du temps et 33 % de toutes les dépenses de publicité.Tatjana Raman, senior media expert chez bpost media, faisait par ailleurs remarquer la semaine dernière lors de l'évènement Get Smart que les consommateurs se montrent toujours plus habiles à éviter la publicité. Ainsi, ils sont 1 sur 3 en Belgique à utiliser un bloqueur de publicités, et 1 sur 5 à avoir mis un autocollant " pas de pub " sur leur boîte aux lettres : " On ne s'en sort pas si mal, tout compte fait. "