Dominiek Lafaut, secrétaire syndical CSC, a confirmé la nouvelle à Nouvelles graphiques. Suite à la mise en liquidation de la société, il sera procédé à un licenciement collectif dans le cadre de la Loi Renault. Un plan social ne pourra pas être négocié faute des moyens financiers nécessaires. Appel sera fait au Fonds de Fermeture d'entreprises (FFE) pour le paiement des arriérés d'indemnités. Une septantaine d'emplois (50 ouvriers et 20 employés) passent à la trappe chez Hoorens Printing. M.B.P. Binders, la division finition de l'entreprise, est également mise en liquidation. Là aussi, une vingtaine de personnes perdent leur job. Benoit Beele, du cabinet courtraisien Belexa Advocaten, a été désigné comme liquidateur par les actionnaires.

Grafimon, l'imprimerie numérique qui fait aussi partie du groupe, n'est pas concernée par la liquidation.

L'entreprise familiale Hoorens Printing a commencé son activité au début des années 60. La première rotative heatset est entrée en service en 1976. L'imprimerie est spécialisée dans l'impression rotative et la finition de brochures, dépliants publicitaires, catalogues, périodiques, magazines, journaux toutes-boîtes et imprimés similaires, et elle exporte vers les Pays-Bas, la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne. Il s'agit d'un marché hautement capitalistique et très concurrentiel où un acteur dominant comme Koninklijke Drukkerij Em. De Jong est également présent. L'âpreté de la concurrence, l'accumulation des dettes, la baisse des chiffres d'affaires, l'étroitesse des marges, des négociations de reprise avortées et les effets de la crise du coronavirus ont fini par amener l'entreprise à jeter l'éponge.

Dominiek Lafaut, secrétaire syndical CSC, a confirmé la nouvelle à Nouvelles graphiques. Suite à la mise en liquidation de la société, il sera procédé à un licenciement collectif dans le cadre de la Loi Renault. Un plan social ne pourra pas être négocié faute des moyens financiers nécessaires. Appel sera fait au Fonds de Fermeture d'entreprises (FFE) pour le paiement des arriérés d'indemnités. Une septantaine d'emplois (50 ouvriers et 20 employés) passent à la trappe chez Hoorens Printing. M.B.P. Binders, la division finition de l'entreprise, est également mise en liquidation. Là aussi, une vingtaine de personnes perdent leur job. Benoit Beele, du cabinet courtraisien Belexa Advocaten, a été désigné comme liquidateur par les actionnaires.Grafimon, l'imprimerie numérique qui fait aussi partie du groupe, n'est pas concernée par la liquidation.L'entreprise familiale Hoorens Printing a commencé son activité au début des années 60. La première rotative heatset est entrée en service en 1976. L'imprimerie est spécialisée dans l'impression rotative et la finition de brochures, dépliants publicitaires, catalogues, périodiques, magazines, journaux toutes-boîtes et imprimés similaires, et elle exporte vers les Pays-Bas, la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne. Il s'agit d'un marché hautement capitalistique et très concurrentiel où un acteur dominant comme Koninklijke Drukkerij Em. De Jong est également présent. L'âpreté de la concurrence, l'accumulation des dettes, la baisse des chiffres d'affaires, l'étroitesse des marges, des négociations de reprise avortées et les effets de la crise du coronavirus ont fini par amener l'entreprise à jeter l'éponge.