Les changements dans le portefeuille de produits, qui contient aussi désormais des produits sans fumée, imposent des délais de mise sur le marché sensiblement plus courts, ce qu'une optimisation de la chaîne d'approvisionnement de l'imprimé conventionnel ne permettait pas d'obtenir. C'est ainsi que l'impression numérique a été envisagée. PMI a décidé de ne pas attendre la mise sur le marché d'une solution prête à l'emploi, mais de plutôt collaborer elle-même activement à la poursuite du développement d'une solution numérique existante.

La Labelfire 340 a été conçue pour imprimer des étiquettes. En tant que système hybride, elle combine les procédés, toujours nécessaires, d'impression et de finition analogiques avec la variabilité de l'impression numérique. La configuration installée chez PMI est, selon Gallus, la version la plus longue jamais construite d'une presse Labelfire.

Gallus a dû apporter quelques adaptations pour que la presse à étiquettes de 340 mm de laize puisse imprimer sur un large éventail de qualités de carton jusqu'à 300 g/m².

La machine comporte deux groupes flexographiques placés en amont de l'unité d'impression numérique. Les groupes flexo servent à la dorure et à l'impression du blanc sur film métallisé ou sur des types de supports laminés spéciaux. L'unité d'impression numérique en elle-même embarque huit couleurs UV plus du blanc numérique. La vitesse atteint 50 m/min, pour une résolution de 1 200 x 1 200 dpi. Après l'unité d'impression numérique viennent encore deux groupes flexo dédiés à la dépose d'un vernis mat ou brillant. À la fin de la ligne, chaque emballage reçoit encore un coating en flexo destiné à en protéger la surface contre le frottement sur les lignes d'emballage rapides.

Que ce soit pour le lancement d'une nouveauté ou une modification d'un produit conventionnel, le time-to-market est aujourd'hui d'environ 4 mois. Pour un lancement au niveau mondial, l'introduction sur le marché peut prendre jusqu'à deux ans. L'entreprise ne peut plus se permettre de tels délais, dit-on chez PMI. PMI vise un terme de sept jours, du catalogue au produit fini. D'où la décision d'explorer les possibilités de l'impression hybride associée au numérique.

Les changements dans le portefeuille de produits, qui contient aussi désormais des produits sans fumée, imposent des délais de mise sur le marché sensiblement plus courts, ce qu'une optimisation de la chaîne d'approvisionnement de l'imprimé conventionnel ne permettait pas d'obtenir. C'est ainsi que l'impression numérique a été envisagée. PMI a décidé de ne pas attendre la mise sur le marché d'une solution prête à l'emploi, mais de plutôt collaborer elle-même activement à la poursuite du développement d'une solution numérique existante.La Labelfire 340 a été conçue pour imprimer des étiquettes. En tant que système hybride, elle combine les procédés, toujours nécessaires, d'impression et de finition analogiques avec la variabilité de l'impression numérique. La configuration installée chez PMI est, selon Gallus, la version la plus longue jamais construite d'une presse Labelfire.Gallus a dû apporter quelques adaptations pour que la presse à étiquettes de 340 mm de laize puisse imprimer sur un large éventail de qualités de carton jusqu'à 300 g/m².La machine comporte deux groupes flexographiques placés en amont de l'unité d'impression numérique. Les groupes flexo servent à la dorure et à l'impression du blanc sur film métallisé ou sur des types de supports laminés spéciaux. L'unité d'impression numérique en elle-même embarque huit couleurs UV plus du blanc numérique. La vitesse atteint 50 m/min, pour une résolution de 1 200 x 1 200 dpi. Après l'unité d'impression numérique viennent encore deux groupes flexo dédiés à la dépose d'un vernis mat ou brillant. À la fin de la ligne, chaque emballage reçoit encore un coating en flexo destiné à en protéger la surface contre le frottement sur les lignes d'emballage rapides.Que ce soit pour le lancement d'une nouveauté ou une modification d'un produit conventionnel, le time-to-market est aujourd'hui d'environ 4 mois. Pour un lancement au niveau mondial, l'introduction sur le marché peut prendre jusqu'à deux ans. L'entreprise ne peut plus se permettre de tels délais, dit-on chez PMI. PMI vise un terme de sept jours, du catalogue au produit fini. D'où la décision d'explorer les possibilités de l'impression hybride associée au numérique.