Lucien De Schamphelaere a travaillé en tant qu'ingénieur au sein de la division recherche et développement chez Agfa-Gevaert. L'ancien dirigeant André Leysen lui avait donné à l'époque le feu vert pour travailler sur l'imagerie numérique. Ce qui a mené à la P400, une machine d'impression monochrome 400 points. Celle-ci fut présentée en 1982 à Cebit à Hannover et allait être fabriquée aussi pour Siemens.

Avec la création de Xeikon, De Schamphelaere allait se lancer sur le développement d'un système d'impression numérique couleur pour le marché haut de gamme de l'impression en couleur. Bien qu'Agfa détenait une participation minoritaire dans Xeikon, Lucien De Schamphelaere a dû partir à la recherche de financement auprès d'autres actionnaires. Xeikon a lancé sa première presse d'impression numérique polychrome à base de toner DCP-1 en 1993 lors du salon graphique IPEX à Birmingham et est depuis - avec Indigo qui, à l'époque, a mis sur le marché sa E-Print 1000 - un pionnier dans l'industrie graphique. En 1994, la première série de presse numérique fut construite et livrée à un client en Allemagne.

Quatre ans après que De Schamphelaere ait quitté l'entreprise, le tribunal de commerce d'Anvers déclara le producteur de presses Xeikon en faillite en mars 2002. De Schamphelaere justifiait alors le déclin de l'entreprise par un manque de concentration et par le développement d'activités dans trop de segments de marché. En 2002, Xeikon tomba ensuite dans les mains du groupe coté en bourse Punch. En 2013, le fonds d'investissement hollandais Bencis rachète la participation de Punch dans Xeikon. Depuis le 20 novembre, le fabricant de presse Xeikon fait partie du géant de l'encre Flint, où il est à la base de la nouvelle division "Digital Printing Solutions." Avec ses presses numériques, Xeikon rencontre aujourd'hui du succès sur le marché des étiquettes autoadhésives.

Lucien De Schamphelaere a travaillé en tant qu'ingénieur au sein de la division recherche et développement chez Agfa-Gevaert. L'ancien dirigeant André Leysen lui avait donné à l'époque le feu vert pour travailler sur l'imagerie numérique. Ce qui a mené à la P400, une machine d'impression monochrome 400 points. Celle-ci fut présentée en 1982 à Cebit à Hannover et allait être fabriquée aussi pour Siemens. Avec la création de Xeikon, De Schamphelaere allait se lancer sur le développement d'un système d'impression numérique couleur pour le marché haut de gamme de l'impression en couleur. Bien qu'Agfa détenait une participation minoritaire dans Xeikon, Lucien De Schamphelaere a dû partir à la recherche de financement auprès d'autres actionnaires. Xeikon a lancé sa première presse d'impression numérique polychrome à base de toner DCP-1 en 1993 lors du salon graphique IPEX à Birmingham et est depuis - avec Indigo qui, à l'époque, a mis sur le marché sa E-Print 1000 - un pionnier dans l'industrie graphique. En 1994, la première série de presse numérique fut construite et livrée à un client en Allemagne.Quatre ans après que De Schamphelaere ait quitté l'entreprise, le tribunal de commerce d'Anvers déclara le producteur de presses Xeikon en faillite en mars 2002. De Schamphelaere justifiait alors le déclin de l'entreprise par un manque de concentration et par le développement d'activités dans trop de segments de marché. En 2002, Xeikon tomba ensuite dans les mains du groupe coté en bourse Punch. En 2013, le fonds d'investissement hollandais Bencis rachète la participation de Punch dans Xeikon. Depuis le 20 novembre, le fabricant de presse Xeikon fait partie du géant de l'encre Flint, où il est à la base de la nouvelle division "Digital Printing Solutions." Avec ses presses numériques, Xeikon rencontre aujourd'hui du succès sur le marché des étiquettes autoadhésives.