C'est en 2005 qu'Aarnink crée Drukwerkdeal dans le cadre de son projet de fin d'étude. Il a alors 21 ans. L'imprimé qu'il vend via la boutique Web construite de ses propres mains, il le fait produire auprès d'imprimeurs heureux d'exploiter la capacité de leurs presses. En neuf ans en temps, il fait de l'entreprise une imprimerie en ligne opérant à l'international et qui génère un chiffre d'affaires de 40 millions.

En 2015, soit un an après avoir vendu sa société à Vistaprint, Aarnink quitte l'entreprise. Il éprouve le besoin de remettre lui-même la main à la pâte dans le secteur de l'imprimé, ainsi qu'il s'en confie au portail des entrepreneurs Sprout.nl : " Mon réseau et mon expérience sont là ; ce serait dommage de devoir tout recommencer sur un nouveau marché. Reste à voir si cela va fonctionner ; le marché est grand et il compte de nombreux acteurs de format. Mais il est suffisamment spacieux pour s'y faire une place et développer une clientèle propre. "

À propos de l'achat du nom de domaine Print.com (et d'autres y renvoyant, comme Print.be), Aarnink dit alors : " Le nom doit être superbon. Surtout dans le paysage Internet actuel. Et mes ambitions se portent directement à l'international. "

C'est en 2005 qu'Aarnink crée Drukwerkdeal dans le cadre de son projet de fin d'étude. Il a alors 21 ans. L'imprimé qu'il vend via la boutique Web construite de ses propres mains, il le fait produire auprès d'imprimeurs heureux d'exploiter la capacité de leurs presses. En neuf ans en temps, il fait de l'entreprise une imprimerie en ligne opérant à l'international et qui génère un chiffre d'affaires de 40 millions.En 2015, soit un an après avoir vendu sa société à Vistaprint, Aarnink quitte l'entreprise. Il éprouve le besoin de remettre lui-même la main à la pâte dans le secteur de l'imprimé, ainsi qu'il s'en confie au portail des entrepreneurs Sprout.nl : " Mon réseau et mon expérience sont là ; ce serait dommage de devoir tout recommencer sur un nouveau marché. Reste à voir si cela va fonctionner ; le marché est grand et il compte de nombreux acteurs de format. Mais il est suffisamment spacieux pour s'y faire une place et développer une clientèle propre. "À propos de l'achat du nom de domaine Print.com (et d'autres y renvoyant, comme Print.be), Aarnink dit alors : " Le nom doit être superbon. Surtout dans le paysage Internet actuel. Et mes ambitions se portent directement à l'international. "