Mouton l'avait elle-même annoncé dans les réseaux sociaux. Ce qui a conduit le quotidien De Standaard à lui demander si tout cela était bien écologique. Ce à quoi elle a répondu veiller, pour ses propres éditions, à ce que tout soit imprimé en Belgique ou aux Pays-Bas. Elle n'a toutefois pas été impliquée dans la décision de faire réimprimer " Hey baby, kijk " en Chine : " Mais il semble que ce soit pratique courante pour les livres-cartons. "

L'opuscule de Mouton - 18 pages de 180 x 181 mm - est édité par le Davidsfonds/Infodok. Le Davidsfonds est un réseau socio-culturel flamand mettant l'accent sur la langue, l'histoire, le patrimoine et l'art dans toute la Flandre et à Bruxelles. Tout en gardant son nom, la maison d'édition Davidsfonds Uitgeverij a été transférée en 2016 dans Standaard Uitgeverij, au motif que " les aspects opérationnels de l'édition ne font pas partie des missions essentielles d'une association socioculturelle ".

À la question de savoir si le Davidsfonds, compte tenu de son fort ancrage régional, mène une politique active en faveur d'une production locale de ses imprimés, Ramses De Kuyffer (responsable de production chez Standaard Uitgeverij) a répondu à Nouvelles graphiques : " En règle générale, nous imprimons nos livres localement. La moitié est fabriquée aux Pays-Bas. Nous faisons aussi produire en Belgique et, par exemple, en Italie et en Tchéquie. Mais pour un type de livre spécifique, que nous appelons livre-carton, nous devons aller en Extrême-Orient. Ce type de production n'existe tout simplement plus en Europe depuis des décennies. " Raison pour laquelle le livre d'Eva Mouton venait lui aussi de Chine par porte-conteneurs. En fin de compte, le retard dû à l'échouage temporaire reste raisonnable, dit De Kuyffer : " Neuf jours. "

Mouton l'avait elle-même annoncé dans les réseaux sociaux. Ce qui a conduit le quotidien De Standaard à lui demander si tout cela était bien écologique. Ce à quoi elle a répondu veiller, pour ses propres éditions, à ce que tout soit imprimé en Belgique ou aux Pays-Bas. Elle n'a toutefois pas été impliquée dans la décision de faire réimprimer " Hey baby, kijk " en Chine : " Mais il semble que ce soit pratique courante pour les livres-cartons. "L'opuscule de Mouton - 18 pages de 180 x 181 mm - est édité par le Davidsfonds/Infodok. Le Davidsfonds est un réseau socio-culturel flamand mettant l'accent sur la langue, l'histoire, le patrimoine et l'art dans toute la Flandre et à Bruxelles. Tout en gardant son nom, la maison d'édition Davidsfonds Uitgeverij a été transférée en 2016 dans Standaard Uitgeverij, au motif que " les aspects opérationnels de l'édition ne font pas partie des missions essentielles d'une association socioculturelle ". À la question de savoir si le Davidsfonds, compte tenu de son fort ancrage régional, mène une politique active en faveur d'une production locale de ses imprimés, Ramses De Kuyffer (responsable de production chez Standaard Uitgeverij) a répondu à Nouvelles graphiques : " En règle générale, nous imprimons nos livres localement. La moitié est fabriquée aux Pays-Bas. Nous faisons aussi produire en Belgique et, par exemple, en Italie et en Tchéquie. Mais pour un type de livre spécifique, que nous appelons livre-carton, nous devons aller en Extrême-Orient. Ce type de production n'existe tout simplement plus en Europe depuis des décennies. " Raison pour laquelle le livre d'Eva Mouton venait lui aussi de Chine par porte-conteneurs. En fin de compte, le retard dû à l'échouage temporaire reste raisonnable, dit De Kuyffer : " Neuf jours. "